Newsletter Ausgabe 3 – 2015
Newsletter Numéro 3 – 2015

Sehr geehrte Damen und Herren

Mesdames, Messieurs,

Am 20. November ist der Internationale Tag der Kinderrechte. An diesem Datum vor 26 Jahren wurde die Kinderrechtskonvention von der Generalversammlung der Vereinten Nationen angenommen. Das Netzwerk-Kinderrechte sammelt wie jedes Jahr Aktionen seiner Mitgliederorganisationen anlässlich dieses Tages auf seiner Webseite.

Dieser Newsletter setzt anlässlich des Internationalen Tages der Kinderrechte einen besonderen Fokus auf die internationale Ebene und beleuchtet die kinderrechtlich relevanten Empfehlungen und Entwicklungen verschiedener UN-Gremien und internationaler Organisationen. Auch die kinderrechtliche Situation in der Schweiz im Vergleich zu anderen Ländern ist ein Thema.

Wir wünschen Ihnen eine spannende Lektüre!

Ihr Netzwerk Kinderrechte Schweiz

 

Übersicht über die Inhalte dieses Newsletters:

  • Kinderrechte im Parlament – Rückschau auf die Herbstsession 2015
  • Kinderrechtlich relevante Empfehlungen aus dem UPR: Zwischenstand Teil I
  • KidsRights Index 2015: Schweiz auf Platz 11
  • Kinderrechtsbildung in Schulen: Internationaler Vergleich
  • Kinderrechte Thema für den UN-Ausschuss gegen Folter
  • Sustainable Development Goals von der UN-Generalversammlung verabschiedet
  • Neue Allgemeine Bemerkung: Öffentliche Ausgaben und Kinderrechte
  • UNESCO: Mehr inklusive und mehr frühkindliche Bildung bis 2030
  • Weitere Aktualitäten
  • Veranstaltungen

 

Le 20 novembre est la journée internationale des droits de l’enfant. La Convention internationale relative aux droits de l’enfant a été adoptée par l’assemblée générale des Nations Unies à cette date il y a 26 ans. Le Réseau suisse des droits de l’enfant rassemble comme chanque année toutes les actions de ses organisations membres à l’occasion de cette journée sur son site internet.

A l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant cette newsletter met un accent particulier sur le plan international et éclaire les recommandations et les développements pertinents du point de vue des droits de l’enfant issus de divers organes de l’ONU et organisations internationales. La situation des droits de l’enfant en Suisse par rapport à d’autres pays sera également abordée.

Très agréable lecture,

Votre Réseau suisse des droits de l’enfant

 

Cette newsletter du Réseau suisse des droits de l’enfant vous informe sur :

  • Droits de l'enfant au Parlement - Rétrospective Session d’automne 2015
  • Recommandations pertinentes du point de vue des droits de l’enfant issues de l’EPU: résultats intermédiaires partie I.
  • KidsRights Index 2015: La Suisse en 11ème place
  • Formation aux droits de l’enfants dans les écoles : comparaison internationale
  • Les droits de l’enfant sujet pour le Comité des droits de l’enfant contre la torture
  • Sustainable Development Goals de l’assemblée générale de l’ONU ratifiés
  • Nouvelle observation générale : Dépenses publiques pour réaliser les droits de l’enfant
  • UNESCO : Une éducation plus inclusive et plus d’éducation de la petite enfance jusqu’en 2030
  • Autres actualités
  • Manifestation

Kinderrechte im Parlament – Rückschau auf die Herbstsession 2015
Droits de l'enfant au Parlement - Rétrospective Session d’automne 2015

Im Nationalrat waren aus kinderrechtlicher Sicht die Vorstösse rund um den Asylbereich von Interesse. Er folgte hier den vom Bundesrat vorgeschlagenen Gesetzesänderungen. Das Parlament überwies die Reform des Asylgesetzes in der Schlussabstimmung und ermöglicht so schnellere Asylverfahren in der Schweiz. Einzig die SVP stimmte dagegen und wird das Referendum ergreifen. Während einer ausserordentlichen Session beschäftigte sich der Nationalrat (wie auch der Ständerat) mit der Motion der Fraktion SVP "Für ein sofortiges Asylmoratorium", die den Bundesrat beauftragt, mittels Notrecht die Anwendung des Asylgesetzes für ein Jahr ausser Kraft zu setzen. Der Nationalrat hielt jedoch nichts von einem Asylmoratorium, die SVP wurde für den Vorstoss heftig kritisiert. Im Nationalrat wurde die Forderung als "menschenverachtend" und "schamlos" bezeichnet und deutlich abgelehnt.

Weiter von Interesse war das Postulat "Bericht des Bundesrats über das Engagement des Bundes gegen Kinderarbeit" der nationalrätlichen Kommission für Wissenschaft, Bildung und Kultur (WBK-N), das vom Nationalrat angenommen wurde. Der Bundesrat muss somit dem Parlament einen Bericht über alle Massnahmen und Aktionen unterbreiten, die der Bund zur Bekämpfung der Kinderarbeit auf internationaler Ebene ergriffen hat und er muss weiter auch aufzeigen, welche Rolle dabei Schweizer Unternehmen haben. Drei weitere Vorstösse befassten sich mit der Armutsbekämpfung. Der Nationalrat will auch weiterhin keine Besteuerung von Sozialhilfe, Ergänzungsleistungen und anderen privaten oder öffentlichen Unterstützungsleistungen. Er lehnte sowohl eine Motion aus dem Ständerat (Motion WAK-S: "Steuerbarkeit von Unterstützungsleistungen und steuerliche Entlastung des Existenzminimums") als auch die Standesinitiative des Kantons Bern ("Besteuerung von Sozialhilfeleistungen") ab. Bei der Volksinitiative "Für ein bedingungsloses Grundeinkommen für alle" folgte der Nationalrat dem Bundesrat und lehnte diese ab.

Der Ständerat befasste sich mit der Motion Schmid-Federer "Nationale Strategie gegen Cyberbullying und Cybermobbing". Der Vorstoss fordert eine national koordinierte Bekämpfung von Cyberbullying und Cybermobbing, eine zentrale Anlaufstelle für Opfer und Eltern sowie eine breit angelegte nationale Aufklärungskampagne über die Thematik. Nach Ansicht des Ständerats brauche es jedoch konkrete Massnahmen, eine nationale Strategie hält er für das falsche Vorgehen und lehnt deshalb die Motion ab. Weiter befasste er sich mit dem Entwurf der Staatspolitischen Kommission zur parlamentarischen Initiative Marra "Die Schweiz muss ihre Kinder anerkennen", die zum Ziel hat, dass Ausländer der dritten Generation auf Antrag eingebürgert werden. Der Ständerat trat auf die Initiative ein, wies sie jedoch gleichzeitig an seine Kommission zurück. Wie im Nationalrat fand die Forderung der SVP "Für ein sofortiges Asylmoratorium" auch im Ständerat keine Mehrheit und wurde klar abgelehnt.

Hinzu kommen in beiden Räten verschiedene Geschäfte und weitere Vorstösse, die ebenfalls kinderrechtliche Aspekte aufweisen

 

 

Au Conseil national, différents objets autour du domaine de l’asile étaient intéressants à relever du point de vue des droits de l’enfant. Il a suivi les modifications de la loi sur l’asile proposées par le Conseil fédéral. Le Parlement a transféré la réforme de la loi sur l’asile au vote final et a ainsi accéléré les procédures d’asile en Suisse.  Seule l’UDC a voté contre et va lancer un référendum. Lors d’une session extraordinaire le Conseil national (tout comme le Conseil des Etats) s’est consacré à la motion du groupe UDC " Pour un moratoire immédiat dans le domaine de l’asile ", qui charge le Conseil fédéral de suspendre partiellement l’application de la loi sur l’asile pour une durée d’un an au moins, en recourant au droit de nécessité. Le Conseil national était contre un moratoire dans le domaine de l’asile. L’UDC a été fortement critiquée pour sa motion. Au Conseil national la demande a été désignée comme " inhumaine " et " sans scrupules " et a clairement été rejetée.

Le Postulat " Rapport du Conseil fédéral sur l’engagement de la Confédération contre le travail des enfants " était également intéressant. Ce postulat de la Commission de la science, de l’éducation et de la culture du Conseil national (CSEC-CN) a été accepté par le Conseil national. Ainsi le Conseil fédéral a été prié de soumettre au Parlement un rapport dans lequel il présentera toutes les mesures et actions prises par la Confédération pour lutter contre le travail des enfants au niveau international et doit également démontrer quel rôle les entreprises helvétiques jouent. Trois autres interventions se sont penchées sur la lutte contre la pauvreté. Le Conseil nation a souhaité poursuivre la non imposition des aides sociales, compléments ou autres prestations d’assistance privées ou publiques. Il a aussi bien rejetté une motion du Conseil des Etats (motion CER-CE : " Imposition des prestations d’aide sociale et allègement fiscal pour le minimum vital ") que l’initiative cantonale du canton de Berne ( " Imposition des prestations d’aide sociale "). En ce qui concerne l’initiative populaire "  Pour un revenu de base inconditionnel " le Conseil national a suivi le Conseil fédéral et l’a rejettée.

Durant cette session le Conseil des Etats s’est consacré à la motion Schmid-Federer " Pour une stratégie nationale contre le cyberharcèlement ". La motion a demandé une coordination nationale de la lutte contre les différentes formes de cyberharcèlement, un service d’aide aux victimes et à leurs parents ainsi qu’une campagne nationale d’information sur les dangers du cyberharcèlement. Selon le Conseil des Etats il faut des mesures concrètes et considère qu’une stratégie nationale n’est pas la bonne approche et rejette donc la motion. Le Conseil des Etats s’est par ailleurs intéressé à l’ébauche de l’initiative de la Commission des institutions politiques concernant l’initiative parlementaire Marra " La Suisse doit reconnaître ses enfants " visant à ce que les étrangers de la troisième génération établis en Suisse obtiennent la nationalité sur demande. Le Conseil des Etats est entré en matière pour le projet mais le renvoie à sa Commission. Comme au Conseil national, la motion du groupe UDC " Pour un moratoire immédiat dans le domaine de l’asile " n’a pas trouvé la majorité au Conseil des Etats et a clairement été rejetée.


A cela se sont ajoutées dans les deux Conseils différents objet et interventions, qui touchent également aux droits de l’enfant  


Kinderrechtlich relevante Empfehlungen aus dem UPR: Zwischenstand Teil I
Recommandations pertinentes du point de vue des droits de l’enfant issues de l’EPU: résultats intermédiaires partie I.

Im März 2013 wurden 99 Empfehlungen aus der 2. Universellen Periodischen Überprüfung der Schweiz vom UN-Menschenrechtsrat verabschiedet, nachdem sie vom Bundesrat akzeptiert worden waren. Darunter sind auch kinderrechtlich relevante Empfehlungen.

Die Universelle Periodische Überprüfung (Universal Periodic Review, UPR)  des UN-Menschenrechtsrats ist ein sogenanntes „Peer-Review“-Verfahren, ein System der Überprüfung von Staaten durch Staaten. Jeder einzelne der 192 Mitgliedstaaten der UNO wird im Rahmen eines 4-jährigen UPR-Zyklus von allen anderen Staaten hinsichtlich seiner Menschenrechtsprobleme überprüft. Die Staaten müssen die an sie gerichteten Empfehlungen prüfen und annehmen oder ablehnen.  Es ist derzeit unklar, ob der Bund gezielte Massnahmen für die Umsetzung der Empfehlungen veranlasst hat

Aus kinderrechtlicher Sicht relevant waren auf einer allgemeinen Ebene u.a. die Forderungen nach der Schaffung einer unabhängigen nationalen Menschenrechtsinstitution (Nr. 123.18-123.22), dem Einbezug der NGOs in die praktische Umsetzung der UPR-Empfehlungen (122.49) und nach Massnahmen zur Bekämpfung der Armut (122.45). Der Bundesrat hat am 1. Juli 2015 den fälligen Grundsatzentscheid zur Schaffung einer nationalen Menschenrechtsinstitution in der Schweiz um ein halbes Jahr hinausgeschoben. Aufgrund des Fehlens eines systematischen Follow-ups gibt es bisher auch keine institutionalisierte Zusammenarbeit mit NGOs zu diesem Zweck. Zur Bekämpfung der Armut setzen Bund, Kantone, Städte und Gemeinden, Sozialpartner und NGOs in den Jahren 2014 bis 2018 das Nationale Programm zur Prävention und Bekämpfung von Armut um. In diesem Rahmen werden derzeit auch diverse Projekte im Bereich der Frühen Förderung unterstützt, die gute Startbedingungen für alle Kinder schaffen sollen. Aussagen zur Wirksamkeit sind noch nicht möglich.

Eine weitere Empfehlung aus dem UPR betraf die Ratifizierung des 3. Fakultativprotokolls zur UN-Kinderrechtskonvention betreffend ein Beschwerdeverfahren. Die eidgenössischen Räte nahmen dazu 2013/14 eine Motion an, die die Ratifizierung des Fakultativprotokolls verlangte, worauf sich ein Vernehmlassungsprozess anschloss. Es wird erwartet, dass der Bundesrat den Vernehmlassungsbericht zusammen mit der Botschaft Ende 2015 oder Anfang 2016 verabschieden wird. Der Bundesratsbeschluss kommt dann mit der Botschaft zusammen wieder ins Parlament, wo er von einer Kommission sowie beiden Räten behandelt wird. Der Entscheid über die Ratifizierung liegt also wieder beim Parlament. Das Geschäft wird voraussichtlich 2016 nicht mehr zu einem Abschluss kommen.

2016 steht die Berichterstattung für den dritten UPR-Zyklus zur Überprüfung der Schweiz an, dann muss sie in einem Bericht Rechenschaft ablegen, wie sie mit den Empfehlungen von 2013 umgegangen ist.

 

 

En mars 2013, 99 recommandations du 2ème examen périodique de la Suisse ont été ratifiées par le Conseil des droits de l’homme, après avoir acceptées par le Conseil fédéral. Parmi elles se trouvent également des recommandations pertinentes du point de vue des droits de l’enfant.

L’examen Périodique Universel (EPU) du Conseil des droits de l’homme est une forme de contrôle par les pairs, à savoir que l’examen est mené par les Etats sur d’autres Etats. Les réalisations dans le domaine des droits de l’homme de chacun des 192 Etats membres de l’ONU sont examinées par les autres Etats dans le cadre d’un cycle EPU de quatre ans. Les Etats doivent examiner les recommandations qui leur sont adressées et choisir de les accepter ou de les refuser. Pour l’instant il n’est pas clair si la Confédération a pris des mesures ciblées afin de mettre en œuvre les recommandations.  

A un niveau général,  la demande de la création d’une institution nationale des droits humains indépendante (n° 123.18-123.22), la consultation des ONG pour l’application concrète de l’EPU (122.49) et le renforcement des mesures pour la lutte contre la pauvreté (122.45) avaient, entre autres, de l’importance du point de vue des droits de l’enfant. Le 1er juillet 2015 le Conseil fédéral a reporté de six mois la décision de principe de créer une institution des droits humains nationale en Suisse. En raison de l’absence de suivi systématique il n’existe jusqu’à présent aucune collaboration institutionnalisée avec les ONG à cet effet. Pour lutter contre la pauvreté la Confédération, les cantons, les villes, les communes, les partenaires sociaux et les ONG mettent en œuvre le programme national de prévention et lutte contre la pauvreté de 2014 à 2018. Dans ce cadre, d’autres projets divers sont actuellement également soutenus dans le domaine des mesures de soutien précoce, qui ont pour but de créer des bonnes conditions de départ pour tous les enfants. Il est encore impossible de se prononcer sur l’efficacité de ces mesures.

Une autre recommandation de l’EPU concernait la ratification du 3ème protocole facultatif à la Convention des droits de l’enfant concernant une procédure de plainte. En 2013/14 l’Assemblée fédérale a adopté une motion qui demandait la ratification du protocole facultatif, qui fut suivie par une procédure de consultation. Il est prévu que le Conseil fédéral approuve le rapport de consultation ainsi que le message fin 2015 ou début 2016. La décision du Conseil fédéral ainsi que le message seront retournés au Parlement, où elle sera traitée par une commission ainsi que les deux Conseil. La décision de la ratification incombe donc au Parlement. L’objet n’arrivera probablement pas à une conclusion en 2016.

La préparation pour le rapport du 3ème cycle EPU pour l’examen de la Suisse sera à l’ordre du jour en 2016. Elle devra alors rendre compte de la manière dont elle a traité les recommandations de 2013.


KidsRights Index 2015: Schweiz auf Platz 11
KidsRights Index 2015: La Suisse en 11ème place

2014 war die erste Ausgabe des globalen Rankings über die Einhaltung der Kinderrechte erschienen. Die Schweiz belegte dort den dritten Platz nach Portugal und den Niederlanden. In der Neuauflage ist die Schweiz hinter Norwegen, die Niederlande, Portugal, Island, die Slowakei, Spanien und Irland gerutscht und erreicht die gleiche Punktzahl wie Schweden, Tunesien und Frankreich. Da sich die Punktzahlen der Schweiz nicht verschlechtert haben, ist der schlechtere Rangplatz darauf zurückzuführen, dass die anderen Länder die Schweiz überholt haben.

Wie 2014 schneidet die Schweiz in jenen Bereichen sehr gut ab, wo es um das schiere Überleben und die basale Gesundheit der Kinder geht. Bei den Indikatoren des Bereichs „Leben“ (Kindersterblichkeit unter 5 Jahren, Lebenserwartung bei Geburt, Müttersterblichkeit) erreicht die Schweiz wieder einen Wert von 0.99 bei einem Maximum von 1, im Bereich „Gesundheit“ wiederum einen Wert von 1 (% der unter Fünfjährigen mit Untergewicht, Impfungen bei Einjährigen, % der Bevölkerung, die über verbesserte sanitäre Anlagen verfügen, % der Bevölkerung, die über sauberes Trinkwasser verfügen). Im Bereich „Schutz“, in den Daten zur Kinderarbeit, Teenagerschwangerschaften und Registrierung bei der Geburt einfliessen, erreicht die Schweiz ebenfalls den Wert 1 (2014: 0.99).

Im Bereich „Bildung“ liegt die Schweiz mit einem Wert von 0.90 (2014: 0.79) weiterhin im oberen Drittel (Indikatoren zum Besuch der Primar- und Sekundarschule von Mädchen und Jungen).

Mit 0.67 (2014: 0.58) erreicht die Schweiz wie im Vorjahr den schlechtesten Wert beim Indikator „Child Rights Environment“, wo Daten zur Nichtdiskriminierung, zum übergeordneten Interesse des Kindes, Respekt für die Sichtweisen des Kindes und Partizipation, förderliche Gesetzgebung, zur Verfügung stehendes Budget, Datenerhebung und Zusammenarbeit des Staates und der Zivilgesellschaft für Kinderrechte einfliessen. Dies entspricht dem 14.-22. Platz im Vergleich der Staaten untereinander. Bei diesem Indikator liegen bei allen untersuchten Staaten die grössten Defizite.

Quellen des Rankings ist der UNICEF-Bericht “State of the Worlds’ Children reports” 2015 sowie Angaben des UN-Kinderrechtsausschusses (UN Committee on the Rights of the Child).

 

 

2014 était la première édition du classement globale sur le respect des droits de l’enfant. La Suisse y occupait la 3ème place après le Portugal et les Pays-Bas. Dans la nouvelle édition la Suisse a glissé derrière la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, l’Islande, la Slovaquie, l’Espagne et l’Irlande et atteint le même score que la Suède, la Tunisie et la France. Etant donné que le score de la Suisse n’a pas changé sa place inférieure est due au fait que les autres pays ont rattrapé la Suisse.

Comme en 2014 la Suisse se classe très bien dans les domaines touchant à la simple survie et la santé basique des enfants. La Suisse atteint à nouveau une valeur de 0.99 pour un maximum de 1 dans les indicateurs du domaine « Vie » (mortalité des enfants de moins de 5 ans, espérance de vie à la naissance, mortalité maternelle). Dans le domaine « Santé » elle atteint à nouveau une valeur de 1 (% des moins de cinq ans souffrant d'insuffisance pondérale, vaccination des enfants d'un an, % de la population qui a accès a une installation sanitaire améliorée, % de la population qui a accès à de l’eau potable). Dans le domaine « Protection » la suisse atteint également la valeur de 1 (2014 : 0.99) dans les données relatives au travail des enfants, les grossesses d’adolescents et l’enregistrement à la naissance.

Avec sa valeur de 0.90 (2014 : 0.79) dans le domaine « Education » la Suisse se trouve toujours dans le tiers supérieure (indicateurs sur la fréquentation de l’école primaire et secondaire des filles et des garçons).

Comme en 2014, la Suisse atteint sa valeur la plus mauvaise de 0.67 (2014 : 0.58) pour le domaine « Environnement stimulant pour les enfants », ou figurent des données sur la non-discrimination, l’intérêt supérieur de l’enfant, le respect le respect de l’opinion de l’enfant et la participation, la législation encourageante, le budget à disposition, la collecte des données et la collaboration entre l’Etat et la société civile pour les droits de l’enfant. Cela correspond au rang 14-22 dans la comparaison des pays entre eux. Tous les pays examinés présentent les plus grands déficits dans cet indicateur.


Kinderrechtsbildung in Schulen: Internationaler Vergleich
Formation aux droits de l’enfants dans les écoles : comparaison internationale

"Teaching and learning about child rights: A study of implementation in 26 countries" vergleicht die Kinderrechtsbildung in Schulen in 26 Ländern, in denen es ein unicef-Nationalkomitee gibt, darunter auch die Schweiz.

Die zentralen Fragestellungen der Studie sind, inwiefern Kinder in der Schule über ihre Rechte gemäss UN-Kinderrechtskonvention unterrichtet werden und welche Faktoren die Kinderrechtsbildung begünstigen oder ihr im Weg stehen.

Insgesamt ist das Recht, über die Kinderrechte aufgeklärt zu werden, in 11 Ländern national verankert, in weiteren sieben in einigen Regionen eines Landes möglich. In 15 Ländern können Kinder nicht darauf zählen, etwas über ihre Rechte zu erfahren. Häufig werden Kinderrechte ausserdem als Gegenpol zu den Pflichten der Kinder vermittelt und der Bezug zur UN-Kinderrechtskonvention und dem Kind als Träger eigenständiger Rechte nicht hergestellt. Ein hemmender Faktor ist die fehlende Kompetenz (wie in der Schweiz) oder der fehlende Wille, die Kinderrechtsbildung "von oben" flächendeckend umzusetzen. Die Studie stellt gute Praxisbeispiele heraus, die sich aus nationalen Fallstudien ergeben, wie die Ausbildungsstrategie für Lehrer in Belgien.

In der Schweiz wird die Stiftung éducation21 vom Bund dabei unterstützt, Anleitungen und Impulse für Lehrpersonen zu den Kinderrechten zur Verfügung zu stellen.

Im Lehrplan 21 sind die Kinderrechte unter "Natur, Mensch, Gesellschaft" erwähnt, unter anderem im 2. Zyklus ("Schülerinnen und Schüler können Rechte und Pflichten von Individuen in der Gemeinde nennen (Menschenrechte und Kinderrechte)"). Einen expliziten Bezug zur UN-Kinderrechtskonvention gibt es allerdings nicht. Ausserdem sind in einigen Kantonen Referenden gegen den Lehrplan 21 geplant. In diesen Kantonen wird es weiterhin vom Engagement der einzelnen Lehrpersonen abhängen, ob Kinder über ihre Rechte gemäss UN-KRK unterrichtet werden.

Im Plan d’études romand (PER) der französischsprachigen Schweiz werden Kinderrechte an verschiedener Stelle erwähnt, z.B. ist im 5./6. Jahr eine "Einführung in die Rechte, Pflichten und Verantwortungen des Kindes (UN-Kinderrechtskonvention)" vorgesehen.

Die Situation der Kinderrechtsbildung ist auch Thema der Empfehlungen, die der UN-Kinderrechtsausschuss am 4. Februar 2015 an die Schweiz richtete. Der Ausschuss ist besorgt darüber, dass die Menschenrechte nicht in allen Kantonen integraler Teil der Schulbildung sind und empfiehlt der Schweiz, sicherzustellen, dass Pflichtmodule zur UN-Kinderrechtskonvention und zu den Menschenrechten im Allgemeinen in die harmonisierten sprachregionalen Lehrpläne aufgenommen werden.

 

 

 " Teachning and learning about child rights : A study of implementation in 26 countries "compare la formation aux droits de l’enfant dans les écoles de 26 pays, y compris la Suisse, dans lesquels il existe un Comité national de l’UNICEF.

Les questions centrales de l’étude sont dans quelle mesure les enfants ont des cours sur leurs droits selon la Convention internationale relative aux droits de l’enfant et quels facteurs favorisent ou font obstacle à la formation aux droits de de l’enfant

Globalement le droit d’être informé sur les droits de l’enfant est ancré à l’échelle nationale dans 11 pays, dans 7 autres il l’est dans certaines régions du pays. Dans 15 pays les enfants ne peuvent pas compter sur le fait d’apprendre quelque chose sur leurs droits. Par ailleurs les droits de l’enfant sont souvent communiqués comme étant l’opposé des devoirs des enfants et le lien avec la Convention des nations unies relative aux droits de l’enfant et l’enfant comme sujet de droits indépendants n’est que rarement établi. Un facteur limitant est le manque de constance (comme c’est le cas en Suisse) ou le manque de volonté de mettre en œuvre l’éducation aux droits de l’enfant " par le haut " de manière globale. L’étude met en évidence des exemples de bonnes pratiques résultant d’études de cas nationales, comme par exemple la stratégie de formation pour les enseignants en Belgique.

En Suisse la Fondation éducation21 est soutenue par la Confédération afin de pouvoir mettre à disposition des enseignants des instructions et des idées sur les droits de l’enfant.

Dans le plan d’études alémanique (Lehrplan 21) les droits de l’enfant sont mentionnés au chapitre " Nature, Humain, Société ", entre autres dans le 2ème cycle (" Les élèves savent citer les droits et les devoirs des individus dans les communes (Droits de l’homme) "). Il n’existe cependant aucun lien explicite avec la Convention relative aux droits de l’enfant. Par ailleurs des référendumps contre le Lehrplan 21 sont prévus dans plusieurs cantons. Dans ces cantons il continuera de dépendre de l’engagement individuel des enseignants si les enfants reçoivent un enseignement sur leurs droits conformément à la CDE.

Dans le Plan d’études romand (PER) les droits de l’enfant sont cités à différents endroits. Par exemple en 5/6ème année une " introduction aux droits, devoirs et responsabilités de l’enfant (Convention relative aux droits de l’enfant) "  est prévue.

La situation de la formation aux droits de l’enfant est également fait également l’objet des recommandations que le Comité des droits de l’enfant a adressées à la Suisse le 4 février 2015 à la Suisse. Le Comité est préocuppé par le fait que les droits de l’homme ne fassent pas partie intégrante de la formation scolaire dans tous les cantons et recommande à la Suisse de veiller à ce que des modules obligatoires sur la Convention internationale relative aux droits de l’enfant et sur les droits de l’homme en général soient ajoutés dans les programmes d’étude harmonisés entre toutes les régions.


Kinderrechte Thema für den UN-Ausschuss gegen Folter
Les droits de l’enfant sujet pour le Comité des droits de l’enfant contre la torture

In der siebten Überprüfung der Schweiz durch den UN-Ausschuss gegen Folter wurden auch die Rechte von minderjährigen Asylsuchenden und Sans-Papiers thematisiert.

Die Überprüfung der Umsetzung der UN-Kinderrechtskonvention in der Schweiz liegt hauptverantwortlich in der Hand des UN-Kinderrechtsausschusses. Die Situation der Kinder in der Schweiz beschäftigt aber auch die Überwachungsorgane anderer Verträge, wie zum Beispiel des Committee Against Torture, den Expertenausschuss zur Überwachung des Übereinkommens gegen Folter und andere grausame, unmenschliche oder erniedrigende Behandlung oder Strafe.

Aus den Anhörungen der Delegationen der Schweizer Zivilgesellschaft und der Regierung am 3. und 4. August 2015 formulierte der UN-Ausschuss gegen Folter seine Abschliessenden Beobachtungen an die Schweiz, in denen er Zurückhaltung bei der Administrativhaft vor allem von minderjährigen Sans-Papiers fordert:

  • L’État partie devrait mettre en place et appliquer des mesures alternatives à la détention administrative, n’utiliser la détention qu’en dernier recours, surtout en ce qui concerne les enfants non accompagnés et, lorsque la détention est nécessaire et proportionnée, pour une période aussi courte que possible. L’Etat devrait poursuivre ses efforts afin de prévoir des structures spécialisées dans tous les cantons pour accueillir de migrants placées en détention administrative, avec un régime adapté à sa finalité. (Empfehlung 17)

Der UN-Ausschuss gegen Folter fordert ausserdem Verbesserungen bei der Unterbringung von unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden, ihren Vertrauenspersonen und ihrem juristischen Beistand und fordert dazu auf, dem Verschwinden von UMA aus den Empfangszentren nachzugehen:

  • Le Comité invite l’Etat partie à: a) garantir que les conditions d’accueil des mineurs demandeurs d’asile soient adaptées à leur condition de mineurs; b) honorer son engagement de garantir la présence de « personnes de confiance » et de conseillers juridiques dans toutes les auditions de mineurs non-accompagnés; c) enquêter de manière approfondie sur les disparitions de mineurs non accompagnés hébergés dans des centres d’accueil et rechercher et identifier ces enfants, qui ont pu être victimes de traite. (Empfehlung 18)

Auch die Trennung von Minderjährigen und Erwachsenen in jeder Form von Haft wird (wie bereits durch den UN-Kinderrechtsausschuss) angemahnt:

  • Le Comité recommande à l’État partie de poursuivre ses efforts pour améliorer d’urgence les conditions de détention conformément aux recommandations de la CNPT et, notamment: (…) c) Mettre en place les mesures nécessaires pour garantir la séparation stricte et une prise en charge adéquate entre adultes et mineurs, ainsi qu’entre hommes et femmes; (Empfehlung 19)

Alle offiziellen Dokumente zur Sitzung sind auf den Internetseiten des Hohen Kommissars für Menschenrechte unter dem Stichwort CAT einsehbar.

 

 

Lors du septième examen de la Suisse par le Comité contre la torture le sujet des droits des requérants d’asile mineurs et sans-papiers a également été abordé.

C’est le Comité des droits de l’enfant qui est le principal responsable de l’examen de la mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l’enfant en Suisse. Il existe cependant d’autres organes de contrôle d’autres Conventions qui se préoccupent de la situation des enfants en Suisse, comme par exemple le Committee Against Torture qui est un organe composé d’experts chargés de surveiller l’application de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants

Suite à l’audition des délégations de la société civile suisse et du Gouvernement les 3 et 4 août 2015, le Comité contre la torture à adressé ses observations générales à la Suisse. Il y appelle à la retenue lors des détentions administratives, notamment pour les immigrés clandestins mineurs :

  • L’État partie devrait mettre en place et appliquer des mesures alternatives à la détention administrative, n’utiliser la détention qu’en dernier recours, surtout en ce qui concerne les enfants non accompagnés et, lorsque la détention est nécessaire et proportionnée, pour une période aussi courte que possible. L’Etat devrait poursuivre ses efforts afin de prévoir des structures spécialisées dans tous les cantons pour accueillir de migrants placées en détention administrative, avec un régime adapté à sa finalité. (recommandation 17)

Le Comité contre la torture appelle également à l’amélioration de l’hébergement des demandeurs d’asile mineurs non accompagnés, de leur personne de confiance et leur représentant légal et encourage à mener l’enquête sur la disparition de MNA dans les centres d’accueil :

  • Le Comité invite l’Etat partie à: a) garantir que les conditions d’accueil des mineurs demandeurs d’asile soient adaptées à leur condition de mineurs; b) honorer son engagement de garantir la présence de « personnes de confiance » et de conseillers juridiques dans toutes les auditions de mineurs non-accompagnés; c) enquêter de manière approfondie sur les disparitions de mineurs non accompagnés hébergés dans des centres d’accueil et rechercher et identifier ces enfants, qui ont pu être victimes de traite. (recommandation 18)

La séparation des mineurs et des adultes dans toutes formes de détention est également demandée :

  • Le Comité recommande à l’État partie de poursuivre ses efforts pour améliorer d’urgence les conditions de détention conformément aux recommandations de la CNPT et, notamment: (…) c) Mettre en place les mesures nécessaires pour garantir la séparation stricte et une prise en charge adéquate entre adultes et mineurs, ainsi qu’entre hommes et femmes; (recommandation 19)

Tous les documents officiels de la séance sont à disposition sur la page internet du Haut-Commissariat aux droits de l’homme. (page du CAT)


Sustainable Development Goals von der UN-Generalversammlung verabschiedet
Sustainable Development Goals de l’assemblée générale de l’ONU ratifiés

An der letzten Sitzung der UN-Generalversammlung wurden nach jahrelanger Vorbereitungsarbeit die Sustainable Development Goals (SDGs) als Nachfolgeagenda der Millennium Development Goals (MDGs) verabschiedet. Einen kinderrechtlichen Bezug haben die SDGs mit Bezug zu Armutsreduktion (Goal 1), Gesundheit (Goal 3), Bildung (Goal 4), Gleichbehandlung der Geschlechter (Goal 5), Gewalt gegen Kinder (Goal 16.2), und einer Reihe weiterer Ziele mit Bezug zur Lebensrealität von Kindern. Trotz dieser Ziele fehlt den SDGs aber ein kinderrechtsbasierter Ansatz, das Dokument verpasst es, Kinder als Träger eigenständiger, verbindlicher Rechte zu definieren.

 


Lors de la dernière session de l’Assemblée générale de l’ONU les Sustainable Development Goals (SDG) ont été adoptés comme successeurs des Millennium Development Goals (MDG) après un travail de préparation de longue haleine. Les SDG ont un lien avec les droits de l’enfant dans les thèmes suivants : la réduction de la pauvreté (Goal 1), la santé (Goal 3), la formation (Goal 4), l’égalité des sexes (Goal 5), la violence contre les enfants (Goal 16.2) et une série d’autres objectifs ayant un lien avec la réalité de la vie des enfants. Malgré ces objectifs il manque dans les SDG une approche basée sur les droits de l’enfant, le document ne définit pas les enfants comme porteurs indépendants de droits contraignants


Neue Allgemeine Bemerkung: Öffentliche Ausgaben und Kinderrechte
Nouvelle observation générale : Dépenses publiques pour réaliser les droits de l’enfant

Der UN-Kinderrechtsausschuss arbeitet an einem neuen General Comment, Kommentare von NGOs zum ersten Entwurf sind erwünscht.

Die Allgemeinen Bemerkungen (General Comments) des UN-Kinderrechtsausschusses sind verbindliche Auslegungen der in der UN-Kinderrechtskonvention (UN-KRK) enthaltenen Rechte und damit wichtige Beiträge zur Umsetzung der Rechte in der Praxis.

Die neue Allgemeine Bemerkung befasst sich mit Art. 4 der UN-KRK, nach dem Vertragsstaaten "alle geeigneten Gesetzgebungs-, Verwaltungs- und sonstigen Massnahmen zur Verwirklichung der in diesem Übereinkommen anerkannten Rechte" treffen. Hinsichtlich der wirtschaftlichen, sozialen und kulturellen Rechte treffen Vertragsstaaten derartige Massnahmen "unter Ausschöpfung ihrer verfügbaren Mittel". Konkret geht es um die Ausgaben der öffentlichen Hand, die für die Umsetzung der UN-KRK zur Verfügung gestellt werden.

Auf der Website des UN-Kinderrechtsausschusses können Informationen abgerufen werden, wie NGOs Feedback zum Entwurf geben können, damit die neue Allgemeine Bemerkung möglichst fundiert und praxistauglich wird. Die Frist für alle Rückmeldungen ist der 1. Dezember 2015.


Weiterführende Informationen: 

  • Websitebeitrag "Beteiligung von Kindern an Haushalts- und Budgetprozessen" (zum Positionspapier von Plan International)

 

 

Le Comité des droits de l’enfant travaille à une nouvelle observation générale, des commentaires de la part d’ONG sur la première version projet sont souhaités

Les observations générales (General Comments) du Comité des droits de l’enfant sont des interprétations contraignantes des droits énoncés dans la Convention des droits de l’enfant (CDE) et sont ainsi des contributions importantes pour la mise en œuvre de ces droits dans la pratique.

La nouvelle observation générale est consacrée à l’art. 4 de la CDE, selon lequel les Etats parties " s’engagement à prendre toutes les mesures législatives, administratives et autres qui sont nécessaires pour mettre en œuvre les droits reconnus dans la présente Convention ". En ce qui concerne les droits économiques, sociaux et culturels les Etats parties " prennent ces mesures dans toutes les limites des ressources dont ils disposent ". Concrètement il s’agit des dépenses publiques qui sont mises à disposition pour la mise en œuvre des droits de l’enfant.

Les informations sur la manière dont les ONG peuvent donner leurs commentaires sur l’ébauche, de manière à ce que les nouvelles observations générales soient le plus fondées et praticables possible, se trouvent sur le site internet du Comité des droits de l’enfant. Le délai pour tous les commentaires est fixé au 1er décembre 2015.

Pour aller plus loin :


UNESCO: Mehr inklusive und mehr frühkindliche Bildung bis 2030
UNESCO : Une éducation plus inclusive et plus d’éducation de la petite enfance jusqu’en 2030

Das Weltbildungsforum der UNESCO hat im Mai 2015 in Südkorea die Incheon-Erklärung zur Zukunft der Bildung verabschiedet. Der Fokus der Erklärung liegt auf dem Recht auf Bildung, der Qualität, der Chancengleichheit, der Inklusion und dem lebenslangen Lernen.

Mit der Incheon-Erklärung definiert die UNESCO die Rolle der Bildung in der Post-2015-Agenda für nachhaltige Entwicklung der Vereinten Nationen (UNO).

Ähnlich wie bereits der UN-Kinderrechtausschuss in seiner Abschliessenden Bemerkung Nr. 55 vom 4. Februar 2015 betont die Incheon-Erklärung die Wichtigkeit inklusiver Bildung und den gleichwertigen Zugang aller Kinder zu Bildung (siehe Punkt 7 der Erklärung). Einmal mehr plädiert die UNESCO auch für frühkindliche Bildung von hoher Qualität für alle Kinder (siehe Punkt 6).

 

 

Le Forum mondial sur l’éducation de l’UNESCO a adopté en mai 2015 en Corée du Sud la Déclaration d’Incheon sur l’avenir de l’éducation. L’objectif de la Déclaration est le droit à l’éducation, la qualité, l’égalité des chances, l’inclusion et l’apprentissage tout au long de la vie.

Avec la Déclaration d’Incheon, l’UNESCO a défini le rôle de l’éducation dans l’agenda post-2015 du développement durable des Nations Unies (ONU).

Comme le relève déjà le Comité des droits de l’enfant dans sa remarque finale numéro 55 du 4 février 2015, la Déclaration d’Incheon souligne l’importance de l’éducation inclusive et l’égalité d’accès à l’éducation pour tous les enfants (voir point 7 de la Déclaration). Par ailleurs l’UNESCO plaide une nouvelle fois en faveur d’une éducation de la petite enfance de haute qualité pour tous les enfants (voir point 6).


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